Autrefois, les choses paraissaient simples, quand on ne s’était pas formé « sur le tas », on disait « j’ai suivi le parcours classique : stagiaire/assistant/chef ». Mais aujourd’hui, avec l’émiettement des conditions d’exercice du métier, le recul du fonctionnement en équipe, la fragilisation de la transmission par l’assistanat et la multiplication des formats et des diffuseurs, existe-t-il toujours un parcours classique pour devenir monteur ?
Au-delà des formations qui se sont multipliées, les voies d’accès au montage semblent s’être grandement diversifiées, permettant à des trajectoires et des expériences très hétérogènes d’embrasser ce métier. Un métier que l’on choisit et que l’on apprend, mais aussi un métier que l’on rencontre, que l’on croise sur son chemin, s’inscrivant dans une expérience et des pratiques plus larges.
Quels atouts cela peut-il apporter, quelles difficultés aussi ? L’acquisition de l’expérience et la transmission des savoirs sont-elles plus difficiles et compliquées ? L’installation dans une carrière professionnelle stable, plus incertaine et périlleuse ?
Nous en parlerons avec Marie Bottois, Giulia Rodino, Sercan Sezgin et Dounia Sichov qui viendront témoigner de leur parcours et de leur expérience et nous réagirons à vos témoignages et réflexions ainsi qu’à vos questions et interrogations.
Mercredi 15 juin • 20 heures
Cafétéria de la Fémis • 6, rue Francœur • Paris 18e
M° Lamarck-Caulaincourt/Jules Joffrin
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