Cette réunion — qui s’est tenue le 15 février dernier — était organisée par Julie Dupré et Valentin Durning, avec Nathalie Alquier, Clémence Colombani, Natasha Gomes de Almeida, scriptes ; Hélène Peyroux, assistante scripte et Céline Bardin, assistante monteuse.
En 2007, une première rencontre avait été organisée entre LMA et LSA, mettant en avant l’importance du métier de scripte sur le plateau. La réunion de ce soir a pour objet de soulever deux questions : comment le métier a-t-il changé ou pas ? Quelle est l’incidence du numérique sur nos métiers ?
Après un rapide sondage à main levée, nous déterminons que le public présent est composé d’environ 60 personnes avec une proportion d’environ 75 % de scriptes. À la question : qui, parmi les monteuses et les monteurs, n’a jamais disposé de rapport montage ? une seule personne a répondu qu’elle n’en avait jamais eu.
1. Comment se pratique aujourd’hui le métier de scripte ?
Nathalie Alquier rappelle que la scripte a de nombreuses tâches, dont le rapport montage qui fait le pont entre le film et le montage. Mais que, de plus en plus, le rythme de travail s’étant accéléré, nous manquons de temps. D’où l’importance d’avoir la meilleure collaboration possible avec le montage ; c’est pourquoi nous vous téléphonons souvent.
Les tâches de la scripte sont certes le suivi du texte et des raccords costumes et accessoires, mais aussi et surtout d’accompagner la mise en scène. On essaie de simplifier le rapport montage, en y faisant figurer les éléments les plus importants qui étaient auparavant notés sur le rapport image (document que nous n’avons plus le temps de remplir et qui nous semble désormais inutile, les métadonnées des caméras numériques étant automatiquement enregistrées sur les cartes des caméras).
Quatre supports de rapports montage sont actuellement possibles et arrivent au montage :
- le papier, où les notes de la scripte sont rédigées à la main — les traditionnelles feuilles roses ;
- le même support papier mais photographié ou scanné et envoyé par mail ;
- le document PDF, établi par la scripte sur iPad/tablette, rempli de manière manuscrite au stylet ;
- le même rapport mais dactylographié, soit issu de logiciels tels que ScriptE, Script Evolution, ou CineKlee, soit issu d’applications telles que PDF Expert ou GoodNotes.
La majorité des documents sont communiqués par mail en PDF.
Julie Dupré précise que pour tout monteur, le plus important c’est la collaboration de la scripte avec le réalisateur au moment du tournage. Certes le rapport montage est un outil précieux, mais le plus important c’est que ce qui est filmé soit « montable ». Il est donc impératif de privilégier la qualité du travail de la scripte en rapport à la mise en scène, plutôt que la rédaction du rapport montage.
Nathalie Alquier précise qu’elle travaille sur PDF Expert, et que c’est son assistante qui remplit les rapports montage. Ces notes sont dactylographiées et Nathalie privilégie les détails en rendant ces notes les plus précises possibles sur chaque prise.
Natasha Gomes de Almeida travaille elle aussi sur PDF Expert. Elle ajuste ses matrices de rapport montage en fonction des projets. Ses notes sont manuscrites, rédigées au stylet, mais elle constate qu’elle écrit à la main de plus en plus mal — preuve que l’on a effectivement de moins en moins de temps pour prendre des notes à la volée. D’ailleurs les réalisateurs eux-mêmes n’ont pas toujours le temps de dire ce qu’ils pensent des prises et la scripte n’a alors que peu de choses ou rien à inscrire sur le rapport montage.
Clémence Colombani travaille de la même manière que Natasha, sur PDF Expert avec des notes rédigées à la main. Parfois elle rajoute une note en rouge, adressée au monteur, pour attirer son attention lorsque des changements apportés au scénario sont intervenus pendant le tournage. Elle rencontre elle aussi des difficultés à avoir les appréciations du réalisateur, qui manque de temps pour communiquer ses infos.
2. En quoi le numérique a changé le métier ?
Pour les scriptes :
On apprécie la légèreté de l’iPad par rapport à tous les cahiers que l’on devait porter à bout de bras, et la liberté de mouvement que l’iPad a aussi apportée. On aime pouvoir tout mettre (scénario, photos, rapports montage et rapport production) sur un seul support. Mais tout va plus vite, et on est quand même dépassé par la somme de tout ce qu’il y a à noter !
On apprécie de ne plus avoir les caisses de documents (cahiers et polaroïds) qui étaient stockées dans les camions caméra et où il fallait aller fouiller à la recherche des archives. Aujourd’hui, on retrouve tout plus rapidement sur l’iPad, où le classement des documents est rapide. De plus on peut s’organiser en split screen, et la recherche par PDF est pratique et efficace.
Mais tout cela donne plus de boulot, car on a un plus grand nombre de documents ! Et cela a pour conséquence que l’on a une surcharge de travail le soir. Lequel n’est, la plupart du temps, pas rémunéré.
Ce que le numérique a également changé, c’est que l’on peut insérer des photos dans le rapport montage. Cela rend le rapport montage plus visuel, et évite de rédiger de longues descriptions détaillées d’un plan, lesquelles sont aussi fastidieuses à lire pour les monteurs.
Par ailleurs, le numérique (à la prise de vue) a augmenté l’énormité des rushes et la fâcheuse habitude de lancer des prises non-stop. D’où, pour les scriptes, un changement aussi dans les prises de notes : mais cela n’est pas simple !
Pour les monteurs :
À propos du rapport montage, la plupart des assistants monteur et des monteurs n’ont, dans un premier temps, pas du tout besoin de savoir quelles étaient les focales, le diaph, les filtres utilisés au tournage des plans. Ces informations pourront néanmoins servir en cas de VFX pour les truquistes, mais, comme dit plus haut, on peut le plus souvent les trouver dans les métadonnées fabriquées par la caméra elle-même. Les seules informations vraiment importantes, apportées par le rapport image, sont de permettre d’avoir l’ordre du tournage des plans : ce qui est indispensable pour la synchro et pour le dérushage. Le rapport montage permet en effet de vérifier qu’on n’a pas oublié un plan ou qu’un plan n’a en fait pas été tourné.
Si personne, sur le tournage, ne remplit de rapport montage, alors il serait utile et judicieux que la scripte numérote les pages de son rapport montage dans l’ordre du tournage. Puis que ces feuilles numérotées sont envoyées dans cet ordre. Car c’est cet ordre du tournage des plans qui est très important pour les assistants monteur.
Il est important de savoir que les assistants monteurs, s’ils en reçoivent la demande par le chef monteur, peuvent être amenés à reporter les informations de la scripte dans le logiciel de montage. En cas de prise de notes manuscrite, le copier/coller est impossible. En cas de rapport dactylographié, cette opération est possible mais, lors de la récupération des données, selon les logiciels utilisés, on se heurte à divers problèmes de mise en page, qui rendent toute l’opération laborieuse (par exemple, les cerclages ne correspondent plus aux lignes, on perd la mise en page, donc les informations deviennent illisibles…).
Certains monteurs font remarquer que ce travail laborieux de report des informations figurant sur les rapports montage est néanmoins une façon pour l’assistant de mieux connaître les rushes, d’apprendre son métier de futur monteur, obligé qu’il sera de s’intéresser aux notes prises pendant le tournage.
À ce sujet, Julie Darfeuil indique que, sur le logiciel ScriptEvolution, le copié-collé est possible, à condition que le document soit en .csv. Quelqu’un précise également que le logiciel ScriptE peut générer des versions Excel des rapports-montage, à partir desquelles le copié-collé est facile. Quelqu’un d’autre évoque les rapports time code, utilisés aux USA, mais qui ne génère pas de clips. Lara Rastelli suggère de faire appel aux assistants caméra pour communiquer leur rapport combo, que l’on pourrait scanner pour l’envoyer ensuite aux assistants monteur, mais il faut bien reconnaître que ce rapport combo n’est pas toujours fiable, car les assistants caméra sont souvent appelés à d’autres tâches et n’ont pas toujours le temps de correctement le rédiger.
Julie Dupré rappelle alors que, autant que l’ordre des plans, celui des clips est aussi nécessaire aux assistants monteurs, ainsi que les TC (time code), les noms des prises, les annotations. Toutes ces précisions sont utiles au montage.
Il est d’ailleurs parfois demandé que les assistants monteurs retranscrivent tout. Certes c’est un boulot fastidieux, mais qui peut être utile ! Bien évidemment, cela dépend aussi du temps qui leur est (ou pas) accordé, et de la quantité des rushes.
De manière générale, ce que l’assistant monteur doit recopier ou retranscrire à l’écran, c’est :
- le nom des plans ;
- le cerclage (avec la possibilité aussi, que le cerclage ne soit pas tout de suite visible, afin que le monteur puisse visionner toutes les prises sans être d’abord influencé par la mention des prises cerclées) ;
- la description simplifiée des plans ;
- la retranscription des commentaires de la scripte, ou tout du moins des commentaires importants ;
- un cerclage gradué, ou avec des étoiles — représentant visuellement les prises vraiment préférées par le réalisateur ;
- l’indication des prises dans lesquelles il y a des reprises, pour mieux les identifier et savoir où il faut aller les chercher. Si la scripte note les time code, cela peut aider les assistants monteur à noter les différentes reprises par un marqueur.
Cette liste dépend des demandes du monteur à son assistant : il n’a parfois pas besoin de tout cela.
Sur les quotidiennes, ce sont les time code qui sont demandés par le montage et non les clips.
Au montage, quand le réalisateur est « perdu », il se réfère très souvent au rapport montage rédigé par la scripte (dont les feuilles ont été imprimées et/ou gardées dans un classeur), lequel sert alors de mémoire du tournage et de mémoire de l’émotion du tournage.
Les monteurs peuvent tenir des cahiers de dérushage dans lesquels ils notent le plus précisément possible ce que dit le réalisateur ou ce qu’il ressent à la vision des rushes. Ces notes, d’émotions, sont ensuite très utiles à relire ou à consulter pendant le montage.
3. Questions à propos de ce qui est utile ou pas
Certaines scriptes composent des story-boards photos. Il s’agit de captures d’écran qu’elles collent sur un document dans l’ordre du montage, ou plus exactement dans l’ordre dans lequel le réalisateur pense son tournage, et qui donne ainsi l’intention et la direction du montage qu’il envisage pour ces plans.
Soit elles le gardent, à portée de main, comme un moyen mnémotechnique pour elles- mêmes ou pour rappeler au réalisateur ce qui a déjà été tourné, ou lui montrer par quel plan a terminé la scène précédente, ou comment commence le montage de la scène suivante. Soit elles en composent des petits cahiers, qu’elles offrent au réalisateur ou à l’équipe, en fin de tournage.
Soit elles le communiquent au montage, au fur et à mesure du tournage, non pas pour « forcer » le monteur à suivre cette directive, mais plutôt comme une indication des souhaits de montage du réalisateur.
Est-ce une dérive du métier de scripte que de proposer ce story-board photos au montage ? Ce document est-il utile au monteur ?
Composer ces story-boards est extrêmement chronophage. Certaines scriptes n’aimeraient pas que cette habitude de le fournir aux réalisateurs et au montage deviennent une obligation. Nathalie Alquier rappelle d’ailleurs que nous, scriptes, ne voulons pas être contraintes d’utiliser un outil, quel qu’il soit, dont nous ne voulons pas nous servir.
Les scriptes « à l’ancienne » numérotent les claps, et donc les plans, non pas dans l’ordre du tournage mais dans l’ordre du montage envisagé par le découpage qu’a indiqué le réalisateur. Certes, parfois, il manque alors des numéros de plans, ou on rajoute des bis, mais ces ajustements-là se notent facilement sur le rapport montage et sont donc faciles à indiquer au monteur.
Peut-être que, dans un deuxième temps, après avoir monté librement les plans à sa façon, le monteur peut trouver dans ces story-boards photos un moyen intéressant (mais pas nécessaire) de remettre en cause sa vision du montage des plans d’une scène.
Mais avant tout, ce qui est essentiel pour le monteur, c’est de connaître, grâce aux annotations de la scripte sur le rapport montage, les premiers mots du réalisateur à l’issue d’une prise, et surtout les raisons pour lesquelles on a refait une prise. Car cela indique ce que le réalisateur cherche, et donc ce que le monteur aussi doit rechercher.
Une monteuse évoque une anecdote où ce story-board photos lui a été utile une fois, pour monter en urgence une scène qui comportait beaucoup de plans, et qu’il fallait monter très rapidement en cours de tournage, pour aider à une prise de décisions importantes pour le réalisateur et la production.
À propos du minutage de chacune des prises, ces indications sont globalement inutiles pour le monteur qui dispose de cette information par ailleurs. Certes. Pour les monteurs. Mais pas pour les scriptes !
Estelle Bault explique en effet que le rapport montage n’est pas utile qu’aux monteurs ou aux assistants monteur. La scripte y note aussi des détails qui lui sont utiles à elle, et indispensables. Ainsi, par exemple, noter les différences de minutage d’une prise à l’autre peut servir à la scripte à se rappeler les nuances du jeu, et/ou à juger du rythme du jeu. Puis à aider le réalisateur dans le choix des prises à cercler. Estelle rappelle également que certes la récupération des données techniques, des TC ou des clips, peut être importante, mais pour cela la scripte se retrouve bien souvent devant un écran ou un moniteur. Or si elle reste collée à cet écran, il y a quantité d’autres choses qu’elle ne peut pas voir ou qu’elle « rate ». Comme par exemple, ce qui se joue ou se passe dans le hors-champ, comment réagit un autre acteur alors qu’il n’est pas filmé, ou quelque chose d’inattendu et qui surgit. Et que la scripte pourra indiquer ensuite au réalisateur, ou lui suggérer de filmer. Nous, scriptes, ne devons pas oublier de rester au cœur de notre métier, c’est-à-dire au plus près de la mise en scène et de l’anticipation du montage.
Julie Dupré rappelle à son tour que, comme elle l’a dit en préambule à cette réunion, pour les monteurs, ce qui est fondamental, c’est la présence de la scripte auprès du metteur en scène dans le jeu des acteurs et le découpage : « N’oublions pas que vous, les scriptes, vous êtes l’œil du montage sur le plateau ».
À propos du travail des assistants monteur de retranscrire toutes les notes de la scripte, non seulement ça peut être pour un assistant-monteur un moyen d’apprendre le montage, mais c’est aussi parfois la possibilité d’annoter, voire de corriger, le rapport de la scripte car il y a parfois des petites erreurs, dues à la précipitation du tournage et au manque de temps.
Puisqu’il est parfois complexe de recopier un document PDF, n’est-il tout de même pas envisageable de concevoir un moyen technique ou un logiciel qui éviterait aux assistants monteur d’avoir tout à recopier ?
Il y a certes un intérêt à automatiser certaines tâches du montage : celui de libérer du temps pour le montage, mais aussi un danger : celui de ne pas prendre le temps nécessaire à l’assimilation des rushes. Retranscrire les notes de la scripte, c’est peut-être fastidieux, mais, comme cela a déjà été dit, c’est aussi un moyen de s’approprier les rushes en y réfléchissant.
Certains tournages, sous-financés, se font sans scripte. Le pré-montage se fait alors « à l’aveugle », et est parfois entièrement à refaire une fois que le réalisateur vient au montage. Le temps du montage doit alors être rallongé puisque le premier montage s’est fait à l’aveugle.
C’est dans ces cas-là que se révèle l’importance du rapport rédigé par la scripte : permettre de gagner du temps en choisissant la bonne direction de montage, surtout si le réalisateur a des intentions très précises et qu’il les lui a indiquées.
Le scénario ligné est-il utile aux monteurs ?
Il semble que ce document prend du temps à faire, et rajoute du travail à la scripte. Or ce n’est pas, au montage, le plus utile des documents.
Selon Julie Dupré, de plus en plus de monteurs doivent gérer des tournages de moins en moins disciplinés… On s’y éloigne de ce qui était écrit dans le scénario, et les rushes peuvent donner l’impression d’assister à une captation vidéo de la séquence plutôt qu’à un découpage mûrement réfléchi. Dans ce cas-là, advienne que pourra ! On ne peut pas demander à la scripte de tout organiser dans ce joyeux bordel ! Et de fournir en plus un scénario ligné !
Le plus important, et c’est ce que les monteurs attendent de la scripte, c’est qu’elle se rende compte, par exemple à la fin du tournage d’une scène, que malgré l’énorme quantité de rushes, il manque un plan et qu’elle obtienne qu’on le tourne !
À propos des plans volés et des plans tournés en deuxième équipe sans scripte, une scripte demande si on apprécie ou non ces plans dit « volés », et si on apprécie ou non la première prise où rien n’est prêt.
Les monteurs adorent ces plans. Très souvent, ces plans sont précieux, beaux, intéressants. Du fait des capacités de stockage, il est aisé de disposer de l’intégralité d’un tournage en machine. Les monteurs regardent tout, absolument tout ce qui a été filmé. Les réalisateurs aiment beaucoup aussi regarder ce qui se passe avant le clap : il y a là, parfois, des moments magiques, des regards spontanés, naturels, magnifiques. Il y a d’ailleurs une magie des premières prises. Même si elles ne sont pas cerclées, les monteurs regardent toujours attentivement les premières prises : il s’y trouve souvent quelque chose de naturel, surtout si, par exemple, on tourne avec des jeunes comédiens, ou des enfants. Il y a souvent quelque chose de très juste dans les premières prises : y apparaissent la première émotion, et l’impression de ce que l’on cherche, de ce que le réalisateur cherche.
Les assistants-monteurs identifient et rangent ces plans dans des chutiers de plans volés.
Il est donc très utile, très important, qu’il y ait quelque part, si c’est possible, une trace de ces plans volés. Car si aucun rapport montage n’est fourni au labo, et si rien n’est noté sur le rapport montage, le risque est grand que ces plans disparaissent au labo et ne soient même pas connus des assistants monteur ni des monteurs.
Un monteur explique qu’il s’est rendu compte qu’il lui manquait des plans volés, en constatant que la numérotation des clips comportait des manques. Il a alors réclamé et récupéré de la matière auprès du labo qui avait fait un « tri ».
À propos des faux-raccords
Bien évidemment, il faut que les plans soient montables. C’est le minimum syndical que l’on attend du travail de la scripte.
Mais le plus important, au montage, c’est l’énergie qui se dégage des plans, le jeu des acteurs, l’émotion, et la vitesse des corps.
À propos des continuités
Elles sont très utiles aux monteurs. Surtout si elles mentionnent les estimations du minutage avant et après tournage : une scène prévue 2 minutes, et qui en a fait 4 au tournage, peut parfois en faire 7 au montage ! Les continuités minutées de la scripte peuvent aider à alerter le monteur sur le rythme du film, et le dosage de sa durée.
Conclusion
Les deux heures de discussion touchent déjà à leur fin. Nous espérons renouveler cette rencontre sans trop tarder. Merci à toutes et tous !
Notes de Brigitte Schmouker (LSA) rédigées avec l’aide de Valérie Chorenslup (LSA), Julie Dupré (LMA) et Valentin Durning (LMA)